Entre corps et matière brute, les contrastes font partie d’une vague qui caresse l’instant.
Elle écoute le temps qui s’écoule dans la lumière…
Par l’abstraction, elle confond corps nus et matière. Des rencontres réelles basculent dans l’onirique.
Son œil photographique, tour à tour, se joue du net, du flou, de l’aube et de la lumière…
S’abandonnant au monde brumeux des opposés, des contrastes…
Marie Biebuyck